Créatures humanoïdes
Les Pourris
Edeniens jadis, ce sont maintenant des abominations maintenues en
vie uniquement par les beaucoup trop nombreuses mutations provoquées
suite à une exposition prolongée aux radiations dans certaines zones
très radioactives.
Leur dangerosité est très aléatoire car elle dépend du viandu qu’ils
étaient avant de recevoir assez de rads pour que leur cerveau fonde, et
également du type de mutations qu’ils ont développé.
On les trouve extrêmement rarement en bande, car entièrement focalisé
sur leurs pulsions primaires, ils sont violents et cannibales. Mais
parfois, allez savoir pourquoi, on en trouve 2 ou qui ont l’air de se
tolérer. Peut-être est-ce parce-qu’ils étaient intimes avant de sombrer
ensemble et qu’il subsiste un peu de ce lien dans leur matière grise
brûlée. Allez savoir.
Caractéristiques
Les mêmes que celles du viandu qu’ils étaient jadis, avec toutes les mutations reçues. Leur Prestance et leur Intellect tombent à 0, les compétences associées aussi, ainsi que toutes celles sous Conscience exceptée la Perception. Les Pourris possèdent en sus une capacité spéciale similaire à celle des Pillards, mais sans contrôle, ce qui signifie qu’ils attaquent aveuglément tout ce qui bouge, et qu’ils disposent de 2 actions par tour, au lieu d’une action et d’une réaction. En revanche, ils ne se défendent jamais. Enfin, ils n’ont plus de PC, tous les dégâts, peu importe le type, sont décomptés de leurs PV, mais ces derniers sont doublés par rapport à ceux de leur ancienne vie.
Les Chro-niqués
Viandus comme bots, les chro-niqués sont d’anciens maudits rendus fous à lier par un chroniqueur, a tel point que ce dernier a considéré sa chronique terminée et s’est détaché de son sujet comme si celui-ci était mort, ce qui, d’un certain point de vue, est tout à fait pertinent. Violents à l’extrême, sans instinct de préservation, ils ne sont que pure rage. Si vous voyez un ou plusieurs types à moitié à poil affichant un air complètement halluciné, c’est soit un adepte de La Branchée en descente de Poivre rouge, soit un Chro-niqué. Dans un cas comme dans l’autre, mieux vaut ne pas traîner dans le coin.